Le Bouquet d’offrande de CHAGALL

13 mars

​​​Une page d’actualité politique et religieuse

La Cène, 1495-1498. La Joconde, 1503-1516. Sainte-Anne,

la Vierge et l’Enfant avec saint Jean-Baptiste,1503-1519 
​Léonard de Vinci, 1452-1519​

VÉLASQUEZ

Trois œuvres de la maturité 

portrait. Il fera représenter à ses côtés le portrait de son ami Georges de Selve, évêque de Lavaur. Ce tableau privé se transforme en état des lieux politique et religieux. Il témoigne d’une situation qui bouleverse l’échiquier européen des grandes dynasties. L’œuvre s’impose aussi comme une réflexion fascinante sur le temps et la mort.

À la demande de son ami André Malraux, le vieux maître Chagall crée « un bouquet de rêve » en hommage à la France et à la musique. Le plafond de l’Opéra Garnier se dissout et laisse place aux musiciens aimés qui virevoltent avec les anges dans le ciel de Paris. Le peintre invente des pétales sur lesquels dansent les fées et s’embrassent les mariés de la Tour Eiffel. Les somptueuses couleurs embrasent le ciel de l’Opéra et le cœur du vieil artiste s’emballe encore pour la peinture qui devient « musique aux oreilles et danse aux pieds » comme dit le poète Gilles Vigneault. Nous sommes éblouis par la vision merveilleuse de l’artiste au regard d’enfant.

Les Ambassadeurs,1533 ​​
Hans Holbein le Jeune, 1498-1543 


REMBRANDT L’UNIVERSEL

Mise en abyme : le grand art de

LÉONARD en TROIS TEMPS 

 entre le peintre et son roi, commanditaire de l’œuvre. Voici un tableau/miroir, piège du spectateur, un théâtre peint époustouflant de virtuosité. Cette œuvre va inspirer à Picasso, un nouveau récit de peinture en 44 versions. Place aux Ménines de Diego et aussi, pour doubler le plaisir, quelques-unes de Pablo. 

Voici une fresque où le peintre de la noirceur retrouve la lumière. Voilà la représentation d’un miracle où le vrai miracle est la peinture elle-même. Voici une foule sous le coup du merveilleux, voilà un peintre qui ouvre le théâtre céleste aux miséreux et aux anges sensuels. Voici une petite chapelle où l’artiste a retrouvé la joie de peindre, voilà un chef-d’œuvre de Francisco Goya.

Les mercredis de Maryse

6 mars

28  février

Bethsabée,1654.La Fiancée juive,1665-1669

Le Retour du fils prodigue,1668      

Rembrandt, 1606-1669

21  février

Cinq siècles après sa mort, la peinture de Léonard de Vinci demeure fascinante. L’artiste nous a laissé très peu d’œuvres de peinture mais chacune d’entre elles témoigne d’une démarche de création exceptionnelle et novatrice. À travers trois œuvres majeures, nous éclairons certains aspects de la quête de Léonard.​

Le Miracle de saint Antoine de Padoue,1798

Francisco Goya,1746-1828

Encore Les MÉNINES? Pourquoi? Parce que ce tableau est merveilleux. Son sujet est l’objet d’une enquête sur une mystification picturale qui n’a pas encore révélé tous ses secrets. Il met à jour le pouvoir de la liberté de l’artiste et de la complicité surprenante

Au début du XVIe siècle, Hans Holbein le Jeune est au service de la Cour d’Angleterre où règne le puissant Henri VIII. À la demande de Jean de Dinteville, ambassadeur français, émissaire de François Ier, l’artiste va peindre ce double 

7 février

Oeuvres sous enquête

Les Ménines, 1656-1658

Diego Vélasquez, 1599-1660

Le plafond de l’Opéra Garnier, 1964

Marc Chagall, 1887-1985

Grand observateur de la condition humaine, touché par les enjeux du destin, Rembrandt s’inspire des récits bibliques qu’il transforme en quête moderne sur le sens de la vie. Quel choix avons-nous? Que décidons-nous? demande l’artiste.  Dans la chair des matières peintes, il fouille la profondeur de l’âme humaine. Rembrandt, le peintre universel, nous parle encore et nous émeut toujours. 


24 janvier

Les rendez-vous du mercredi de 9:30 à 11:45

GOYA et le Vertige de la fresque 

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